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Fonds Jacques Benhaïm
Ce fonds est composé d'enregistrements divers de musiques en live, dont des enregistrements du folk club du Bourdon entre 1971 et 1975. D'autres enregistrements, de festivals, de rock, de jazz et de reggae sont présents. La période concernée se situe entre 1965 et 1985. Ces enregistrements ont été réalisés par le fils de Christian Gourh'an, Yannick Leroi-Gourh'an. Les enregistrements concernant le folk-club du Bourdon ont été numérisés sur 12 CD's, que nous avons distingués en 13 enregistrements (le n°8 étant doublé, 8-1 et 8-2). Ces 13 enregistrements sont accessibles ci-dessous.
Notices liées
Contes recueillis en Limousin
enquêteur
:
Decomps, Dominique
;
enquêteur
:
Gonfroy, Gérard
Notices liées
Enquêtes en 1975 sur la commune de Favars
enquêteur
Notices liées
François "lilou" Malthieux, violoneux Corrézien
informateur
:
Malthieux François
"François Malthieux est né en 1905 à Lacombe de Tarnac. C'est dans ce pays de maçons et tailleurs de pierre qu'il mène ses premiers bals et fêtes. Les musiciens sont nombreux à l'époque, depuis M. Neige, dit le "Negrou", Rata, Concalon et Nard, tous violoneux émérites jusqu'au célèbre accordéoniste Marceau, de Saint-Merd-les-Oussines. Il apprend d'eux de nombreux airs très variés, parmi lesquels on retrouve, à la différence des autres musiciens du disque (cf disque "Violoneux Corrèzien"), beaucoup d'airs de contredanses, mazurkas, polkas, etc. Son répertoire de bourrées reste cependant très corrézien et souvent issu de la tradition locale. Son jeu moins ornementé que celui des musiciens des Monédières garde cette rapidité et cette vigueur des violoneux de la "montagne"" limousine. Vers 1930, il cesse de jouer régulièrement aux noces et aux fêtes et désormais ne joue plus qu'épisodiquement pour la petite communauté de Lacombe. C'est en 1974 que nous l'avons rencontré: depuis, on a repris l'habitude de pousser la table et les chaises dans la cuisine et Lacombe connait, certains soirs, une effervescence inhabituelle. " Texte in "Violoneux Corrèziens" - enregistrements 1975 - 1978.
Notices liées
Julien Chastagnol, violoneux Corrézien
informateur
:
Chastagnol, Julien
"A la fin de la guerre de 14, tous les jeunes Chaumeillois "s'essayent au violon". Julien Chastagnol est de ceux-là. Son frère aîné, Jean, qui a déjà débuté, lui donne ses premières leçons. Bien qu'ayant exercé de nombreux métiers, Julien est avant tout un homme de la terre, et à ses débuts, il travaille le violon tout en gardant les troupeaux: "Je jouais assis sur le dos de mon âne, et il écoutait: il battait la mesure avec ses oreilles,..." raconte t'il avec humour. Passionné, il cherche aussitôt à enrichir son répertoire: aussi ne laisse t'il pas passer l'occasion de rencontrer les musiciens des alentours de Chaumeil: il écoute et observe Léonard Lachaud de la Vedrenne, et surtout Rempart, de Meymac, dont la renommé est indiscutable. A ses débuts, Julien s'est heurté aux difficultés de l'apprentissage: son doigté se limitait à l'utilisation de l'index et du majeur, ce qui lui imposait une grande mobilité de la main gauche sur la touche. Plus tard il s'est servi du troisième doigt pour l'ornementation, mais son jeu est resté définitivement marqué par ce doigté particulier qui en a fait l'originalité. Aujourd'hui Julien Chastagnol n'est plus, mais nous entendons toujours le son de son violon: que ce disque (cf "Violoneux Corrèziens") lui rende hommage." Texte in "Violoneux Corrèziens" - Enregistrements 1975-1978
Notices liées
Michel Péchadre, violoneux et sabotier originaire de l'Artense
Péchadre, Michel
(1891-1982) Originaire de Trémouille St Loup, son pére jouait déja mais n'avait pu lui enseigner le jeu du violon, s'étant paralysé le bras gauche. Son frére (né en 1887) avait appris à jouer et ses cousins de La Bessette jouaient également. L'un deux, Michel, jouait avec un violon monté à gauche car il s'était blessé à la main avec un fusil. Lui-même est venu jouer sa première noce à Prades de Thalamy en Corrèze vers l'âge de seize ans alors qu'il habitait La Bessette. Rescapé de Verdun du régiment d'Auvergne ou ils étaient partis 6000 en 1914 et revinrent 600 (!) , Michel Péchadre qui était sabotier à joué beaucoup de noces et de bals sur la région de l'Artense. Son jeu, tout de fonctionnalité à la musique de danse, est probablement un des plus vigoureux et un des plus fins qu'on ait connu. Luthier à ses heures perdues, il a fabriqué une dizaine d'instruments avec ses outils de sabotier "tout blanc, çà sonnait mieux..!"(s.e; pas vernis). Monté en Corrèze pour travailler à la fabrique de sabots Dalégre de St Exupery, il finira sa vie à Ussel. Enregistré en 1959 par le Musée des A.T.P., un de ses violons fait partie actuellement des collections du Musée.
Notices liées
Léon Peyrat, violoneux et chanteur Corrézien
informateur
:
Peyrat, Léon
Parmi tous les musiciens de tradition redécouverts il y a une vingtaine d’années en France, figurent des personnages remarquables, parfois hauts en couleurs, instrumentistes souvent inspirés jusqu’à la virtuosité... Léon Peyrat, agriculteur et violoneux, musicien corrézien de la commune de St Salvadour, fut de ceux là... mais, avec - en plus - au fond des yeux, la lumière des créateurs, celle qui ne s’apprend pas, celle qui jamais ne tarit, jusqu’au dernier souffle... Fils de chanteur et frère de violoneux, violoneux lui-même, Léon eut la musique comme exutoire et recours ultime à son existence : "La musique m’a sauvé la vie". Aussi quand en 1976, de jeunes musiciens, désireux de retrouver les vieilles musiques du pays, franchissent le pas de la porte de sa maison, ils sont loin de se douter que l’homme d’un certain âge qui les reçoit au fond de son cantou d’un petit sourire amusé, va les retenir ainsi des années durant, suspendus d’abord au fil de la découverte de la musique du pays puis rapidement de celle du seul Léon Peyrat, créateur prolifique de mélodies et de chansons. Aujourd’hui voilà dix ans que Léon Peyrat a disparu, laissant à ceux qui venaient l’écouter alors, le soin de révéler ce qu’il faut bien appeler une oeuvre, constituée d’une centaine de pièces mélodiques et de chansons originales, qui aura mis la plupart des spécialistes, certains venus de toute la France mais aussi de l’Europe voisine, sous le charme de ce musicien hors normes.
Notices liées
Fonds Olivier Durif
enquêteur
:
Durif,Olivier
En Janvier 1975, la rencontre hivernale avec Antonin Chabrier, violoneux de Riom-ès- Montagnes dans le Cantal, a été pour moi le déclic du travail de recherches sur le monde et la musique des violoneux du Massif Central. Cette recherche a tout-de-suite pris place dans le cadre plus large d'un groupe de musiciens "folk" lyonnais, Le Grand Rouge , attachés par leur pratique naissante de la musique "auvergnate" à découvrir d'autres sources, à leur yeux plus authentiques, que celles véhiculées alors par les groupes folkloriques du pays, voire par d'autres musiciens du réseau "folk". C'est grâce à des informations de Daniel Fresquet, un ami habitant la région de Neuvic (19), que des recherches de plus en plus systématiques ont été entreprises à partir du Printemps 1975, en Corrèze. D'abord infructueuses à Pâques 75 (manque de précision de l'enquête, violoneux décédés, contexte humain difficile...), c'est en juin 75 avec Daniel Fresquet et Jean François Laurent que nous rencontrons et enregistrons un premier violoneux, Mr Rouffet de St Bonnet-prés- Bort, puis un autre du côté de Mauriac, enfin, sur le chemin du retour pour Lyon, nous découvrons le 6 juin 1975, une forte présence de musiciens violoneux sur le plateau de l'Artense dans la région de Latour d'Auvergne et Picherande: Nous enregistrons Alexandre Bapt à Mezeyrat, et nous rencontrons Henri Rochon à Latour d'Auvergne, Ferdinand Estrade à Chastreix, Alfred Mouret à St Donat, Eugène Amblard à Picherande, messieurs Tournadre et Barthomeuf à Reignat. La "récolte" (selon le mot de l'époque!) est maigre mais le sondage précieux et la rencontre de ces hommes déterminante pour notre futur engagement. En Août 75 nous reprenons les enquêtes avec Jean Blanchard et Christian Oller sur la montagne Corrézienne (plateau de Millevaches) et sur l'Artense (Régions des Monts Dores et de Latour d'Auvergne). Au milieu de l'automne 75, d'autres enquêtes sont entreprises sur les Monédières, La Xaintrie et la Région d'Ussel. A Pâques 76, nouvelle campagne d'enquête avec les membres du groupeLe Grand Rouge (voir également collecte M.Berger et C.Oller) sur la région de Bort, Ussel, Lagarde Enval et la Xaintrie en Corréze puis, sur le Cantal du côté du Cezallier. Exilé momentanément dans les Vosges pour cause de service (civil) national à partir de l'été 76 je ne peux que suivre de loin les premières enquêtes systématiques sur la Corrèze entreprises par Jean Pierre Champeval, Christian Oller, Monique Pauzat et Jean Michel Ponty qui aboutiront à l'édition du disque "Violoneux Corréziens". Entretemps pendant l'été 76, je suis venu sur l'Artense, le Cezallier et la zone du Lembron au dessus d'Issoire en compagnie d'Eric Montbel, rencontrer d'autres violoneux. C'est à partir du début de 1977, que j'entreprendrai des recherches systématiques sur le haut du Plateau d'Artense d'abord avec les membres du Grand Rouge puis, à partir de l'été 77, établi à Tulle en Corrèze pour cause de seconde année de service civil, avec Jean François Chassaing. Ces recherches se poursuivront jusqu'en 1979 avec Jean François Chassaing, puis André Ricros et Alain Ribardière. Parallèlement à cela, nous rencontrons avec Jean Pierre Champeval d'Egletons d'autres violoneux dans les Monédières au cours de veillées jusque dans l'été 1978 puis, dans la région de Bort-Neuvic-Mauriac avec André Ricros. A partir de la fin 1979, date du premier "Banquet des Violoneux" inaugurant la sortie du disque "Violoneux Corréziens" à Chaumeil (19) , les enquêtes s'espaceront ou s'attacheront plus particulièrement à approfondir les contacts avec certains musiciens rencontrés précédemment. Parallèlement à cela, j'entreprends aux Archives Départementales de la Corrèze (1977), du Cantal(1981) et du Puy-de-Dôme(1977) des recherches sur les journaux qui me permettront d'inventorier un certain nombre de musiciens, concours, etc. A partir de 1980 et surtout de la fin 1981 ou j'habite en Haute-Corrèze, en compagnie notamment d'André Ricros, puis de ma compagne Sylvie Heintz, nous entreprenons des enquêtes, sur la Haute-Corrèze, le Puy-de-Dôme et le Cantal. Les enregistrements s'espacent et nous privilégions le discours des musiciens dans leur rapport à la musique, au pays,..., les biographies d'anciens musiciens, les photos anciennes et les occasions de musique. Ces recherches seront accomplies jusqu'à la fin de 1984. A partir de 1985, jusqu'au décés de la plupart des violoneux du pays corrézien et cantalou ces dernières années, nous choisirons d'approfondir la compréhension de la musique de violon avec notamment Léon Peyrat de St Salvadour, François Malthieuxx de Tarnac, Martial Ceppe de Monestier-Port Dieu en Corrèze.
Notices liées
Violoneux Corréziens
enquêteur
:
Durif,Olivier
Oller, Christian
Ce corpus contient des enquêtes auprès des violoneux suivants: M. Malguid François "Lilou" Malthieux Julien Chastagnol - Chaumeil (19) M. Rouffet - Saint-bonnet-près-bort (19) Michel Péchadre André Rigal - Ussel (19) Jean Lamoure - Pandrignes (19) Gaston Pouget - Saint-Paul (19) Léon Peyrat de Roux à Saint-Salvadour (19) M. Galeyrand - Bort-les-Orgues (19)
Notices liées
Chaumeil dans les années 1950
Merlin, Jacques (Abbé)
Ce corpus comprends des archives inédites autour de récits de vie, chansons et musique du Pays de Chaumeil recueillis au cours de veillées dans les années 1955 à 1957 par le curé du village, Jacques Merlin. Des messes sont également enregistrées. Quelques extraits ou morceaux choisis de ces archives sont compilés dans l'Atlas sonore du Pays de Chaumeil, produit par le Centre Régional des Musiques Traditionnelles en Limousin. « L’Abbé Merlin, il enregistrait les gens de Chaumeil dans des veillées… » C’est par cette confidence recueillie en 1977 dans les Monédières que Jean-Pierre Champeval et Olivier Durif avaient appris l’existence d’enregistrements effectués « dans les années cinquante » auprès des habitants de Chaumeil par un de leur ancien curé, l’abbé Jacques Merlin. Mais ce n’est que plus de vingt ans après — par un hasard qui n’en était sans doute pas un ! — qu’ils finiront par retrouver la trace de l’homme et de ses enregistrements, loin de Chaumeil dans un petit village du Sancerrois berrichon…
Notices liées
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