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visiteur
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| n° inventaire CMTRA
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1AV225
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| Titre
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Rencontre avec Philippe Clément : le théâtre, l'Iris et l'ENM
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| Commentaire
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Philippe Clément est comédien, metteur en scène et enseignant. Il est aujourd'hui directeur du théâtre de l'Iris. Il raconte la rencontre du théâtre avec l'ENM dans les années 2000 et la création du cursus de formation.
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| Responsabilité - Intervenant
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enquêteur
:Daubercies, Maëllis
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informateur
:Clement, Philippe
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| Date enregistrement-création
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16 mars 2021
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| Lieu enregistrement-création
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Villeurbanne
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| Ecouter - Voir
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Document en ligne
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| Documents liés
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Fichier sonore
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| Descripteurs
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équipement collectif-
culture-
théâtre-
compagnie théâtrale-
salle de spectacles
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| Langue
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français
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| Genre du document
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témoignage thématique
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| Lieux cités
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Villeurbanne;
théâtre de l'Iris;
Théâtre National Populaire (TNP);
École Nationale de Musique, Danse et Art Dramatique de Villeurbanne
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| Noms cités
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Pardo, Martial;
Terracher, Raymond;
Planchon, Roger
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| Sommaire
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[00:00:00] Philippe Clément est comédien, metteur en scène et enseignants. Il découvre le théâtre dans le mouvement de la décentralisation lors d’un stage d’un mois. Il s’agit d’une aventure collective. Lors de son retour d’Algérie en France, il s’installe à Villeurbanne (car Lyon était une ville de théâtre – Planchon et Maréchal) et cherche à s’inscrire dans une école. Il rentre au conservatoire et termine ses études. Deux ans plus tard il y devient enseignant.
[00:05:00] Il travaille alors avec les personnes des centres dramatiques, le théâtre institutionnel. En parallèle, il créé le café-théâtre de la Graine qui a connu un grand succès. Des auteurs écrivaient pour l’équipe. Philippe raconte ses souvenirs du café-théâtre.
[00:08:04] A la suite de ça, il s’écarte un peu du théâtre pour se consacrer à l’acuponcture. C’est après cette expérience qu’il créé sa compagnie et joue la première pièce au Clochard Céleste. Ils cherchent alors une salle de répétition et trouvent en 1988 la salle du théâtre de l’Iris, ancien cinéma. Les quinze comédiens travaillaient en autonomie puis se sont structurés. Un grand cycle de création a débuté. L’envie de pouvoir construire avec les personnes habitant le quartier se faisant plus forte, le théâtre s’ouvre progressivement. Ils développent les activités avec des amateurs.
[00:14:08] L’école a commencé très rapidement. D’abord pour les entrées d’argent mais aussi parce que peu de compagnies proposaient alors de la formation. Après la fermeture du conservatoire, seul l’ENSATT proposait une formation.
[00:17:07] Changement lors de l’arrivée de Martial Pardo, Raymond Terracher proposait une rencontre des directeurs de structures et Martial et Philippe ont lancé une formation plus structurée en 2000. Le projet a été présenté au Ministère pour avoir un agreement de formation professionnelle et validé. L’ENM et l’Iris se sont rapproché depuis cette époque. La classe s’est pérennisée en croisant le théâtre, le chant, la danse, le tai-chi et la théorie de base de la médecine chinoise. Philippe constate les progrès énormes des élèves depuis le début de l’interdisciplinarité des enseignements. Le théâtre intègre l’ENM en 2008. Les partenariats se poursuivent, notamment avec le TNP.
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[00 :00 :00] Fonctionnement de l’école : aujourd’hui il existe 3 cycles qui durent chacun entre 2 et 3 ans. Les élèves sortants ont entre 4 et 8 ans de formation. Le cycle 3 renforcés ont 9h de théâtre, 6h de travail autonome, plus 1h de chaque discipline (chant, danse…). Les effectifs des classes : entre 12 et 15 élèves.
[00 :04 :30] Le partenariat entre l’Iris et l’ENM : co-financement. De plus, les passerelles entre les élèves est forte de par la présence des élèves à l’ENM.
[00 :06 :48] Évolution de l’enseignement. Contenu et déroulement de l’examen final. Comment coller à la pédagogie de l’anti-conservatoire de l’ENM ?
[00 :12 :00] Quelle suite ? La crise sanitaire interroge les pratiques de transmission.
[00 :14 :04] La question de l’occupation actuelle des théâtre dans le contexte de la crise sanitaire. Culture et politique, questions de société, de liberté d’expression. Les perspectives à venir sont floues et hésitantes.
[00 :17 :49] La place de l’artiste dans la cité : Philippe regrette une certaine hiérarchisation entre les personnes et les arts, le loisir/ la culture, la division entre social et culture. Le théâtre de l’Iris reste proche de sa devise : Un lieu des liens.
[00 :21 :56] Les événements marquants de l’Iris : les Turbulents : festival de création des élèves des école de théâtre de la région ; le Mois d’utilité publique : spectacles et conférences gesticulées autour de questions politiques et sociales ; le festival Brut de Fabrique : amateurs et professionnels du théâtre se rencontrent.
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| Fonds
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Fonds "Quelle mémoire !"
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| Nature du document
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enquête
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| Département
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Rhône (69)
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| Niveau de consultation
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Consultation libre et copie sur autorisation
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| Durée
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00:54:46
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| Qualité
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bon
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Document : archives sonores