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visiteur
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| n° inventaire La Loure
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0211-06
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| Titre
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Chant : ''A Douarnenez tout est pitié''
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| Contenu dans
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Entretien auprès d'une femme de Senneville-sur-Fécamp
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| Responsabilité - Intervenant
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enquêteur
:Colleu, Michel
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enquêteur
:Barray, Laurent
;
informateur
:Femme inconnue
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| Date enregistrement-création
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1 févr. 1979
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| Lieu enregistrement-création
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Senneville-sur-Fecamp
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| Ecouter - Voir
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Document en ligne
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| Documents liés
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Fichier sonore
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| Titre d'oeuvre chant-musique-conte
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02321 - Délaissée invitée à prendre un garçon nigaud (la)
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| Langue
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français
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| Genre du document
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chant
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| Incipit chanson
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A Douarnenez tout est pitié
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| Coupe chanson
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8m-8m-6f-6m-6f-6m
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| Transcription
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211.06 A DOUARNENEZ TOUT EST PITIE
Ah Douarnenez t'est sans pitié
On entend toutes les jeunes filles pleurer
Jeunes filles volages
Qui n’ont su le garder
Et maintenant pour gage
Un enfant élevé
Quand elles passent dans la rue
Tout le monde la montre du doigt
En disant : - cette fille
A mal passé son temps
Et elle n’est plus fillette
A l’âge de quinze ans
Tout en montant ses escaliers
La belle se mit à pleurer
En disant à sa mère
- Retire-moi ce mal
Ce mal ou dont je souffre
Depuis le carnaval
A peine eut-elle fini ces mots
Que son amant rentre aussitôt
Tirant de sa boujette
De cinq à six cent francs
Il lui dit - tiens la belle
Pour nourrir ton enfant
- Oh non prend moi en mariage
Comme tu m’l’avais déjà promis
Tire ton épée
Traverse-moi le cœur
Fillette abandonnée
Qu’a perdu son bonheur
- Si ton bonheur tu l’as perdu
C’est toi la belle qui l’a bien voulu
Tu n’avais pas qu’à me suivre
Me suivre dans les champs
Il fallait rester bien sage
Tout près de ta maman
- Si dans les champs moi j’ai été
C’est toi grand nigaud qui m’as emmenée
Tu m’avais promis mariage
Devant tous tes parents
Et maintenant grand lâche
Tu me laisses un enfant
- Adieu la belle moi je m’en vais
Puisque mon bâtiment s’en va
Je m’en vais faire un tour
De Douarnenez à Toulon
Tu m’écriras la belle
Si c’est fille ou garçon
- Oh non je ne t’écrirais pas
Puisque ton bâtiment s’en va
Je laisserai t’a ma mère
Ce petit innocent
Et j’irai te rejoindre
A bord de ton bâtiment
- Oh non la belle si tu m’écoutais
A Douarnenez tu y resterais
Tu trouverais peut-être
Quelque marin nigaud
Qui serait assez bête
Pour te prendre à nouveau
- Oh non aucun aucun marin
Aucun marin serait mon amant
Je resterai vieille fille
Tout près de mon enfant
Plutôt que d’faire la vie
Près d’un marin du Banc
Entretien auprès d'une femme de Senneville-sur-Fécamp, en février 1979.Pays de Caux
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| Fonds
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Fonds Michel Colleu
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| Nature du document
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enquête
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| Département
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Seine-Maritime
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| Aire culturelle
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Pays de Caux
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| Niveau de consultation
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Diffusion publique non commerciale
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| Durée
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00:03:26
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| Qualité
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moyen
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Document : archives sonores