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Affichage notice
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visiteur
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n° inventaire CMTRA
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1AV138
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Titre
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Récit de vie de Monsieur Salique, vannier au Centre Gallieni
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Commentaire
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Antonin Salique habite à Villeurbanne depuis 1958. Aveugle, il a passé 26 ans au Centre Gallieni où il travaillait en tant que vannier. Agé de 92 ans au moment de l’enregistrement, il revient sur son parcours de vie, relatant notamment son arrivée à Gallieni – où il a vécu avant de prendre son indépendance – et ce qu’il en a gardé comme souvenirs.
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Responsabilité - Intervenant
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enquêteur
:Mathias, Cécile
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informateur
:Salique, Antonin
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Date enregistrement-création
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7 févr. 2014
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Lieu enregistrement-création
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Villeurbanne
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Ecouter - Voir
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Document en ligne
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Documents liés
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Fichier sonore
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Descripteurs
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handicap-
aveugle-
fabrication de paniers-
condition de logement
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Lieu latitude
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45.7607576
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Lieu longitude
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4.891956
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Langue
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français
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Genre du document
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récit de vie
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Lieux cités
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Villa Saint-Raphaël;
Cours Tolstoï;
Centre Gallieni
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Noms cités
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Père Côte;
Braillon, René
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Sommaire
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1AV138_1
[00:00:00] Présentation générale d’Antonin Salique
Antonin Salique a 92 ans au moment de l’enregistrement. Il est arrivé pour travailler la vannerie au Centre Gallieni à Villeurbanne en 1958, après avoir vécu à la Villa Saint-Raphaël, un établissement pour aveugle situé à Vaise et créé par le Père Côte.
[00:05:17] Erreurs médicales et perte de vision
Antonin Salique, déjà atteint à son œil droit par une cataracte traumatique, a perdu la vision à l’œil gauche suite à une série d’erreurs médicales dix ans plus tard : « Le docteur pour les yeux n’en connaissait pas plus que celui qui m’avait envoyé ». Récit des soins et des médecins rencontrés, de Annonay à l’hôpital de l’Antiquaille à Lyon.
[Coupure de la bande suite à un appel téléphonique à 00:12:09]
[00:12:09] Lieux de vie d’Antonin Salique
Arrivée en 1958 au Centre Gallieni où il travaillait, Antonin Salique a dormi vingt ans sur place, en chambre double ou seul. Commentaires sur le bruit et le manque de repos lorsqu’il était au centre. En 1978, a fait le choix de louer un appartement rue de la Baïsse mais conditions difficiles. En 1981, grâce à un héritage et son épargne, il achète une maison sur le Cours Tolstoï dans laquelle il restera 25 ans et où il recevait un peu d’aide. Il continue à travailler au Centre Gallieni mais bénéficie d’un cadre de vie plus calme.
[00:20:30] L’entrée au Centre Gallieni
Antonin Salique connaissait le Centre Gallieni par des « copains » qui lui avaient conseillé d’y travailler. Après avoir contacté le nouveau directeur, René Braillon, Antonin va au Centre Gallieni seul pour rencontrer le directeur des ateliers. « C’est celui qui cherchait du travail pour ceux qui n’en avaient pas. Mais pour la vannerie, il n’y avait pas besoin de chercher de travail, il y en avait plus qu’on en voulait ». Récit du trajet entre Vaise et Villeurbanne qu’il fera ensuite plusieurs mois avant d’emménager au Centre.
[00:30:09] Les ateliers du Centre Gallieni
A l’atelier de vannerie, le nombre de travailleurs varie souvent car le métier est difficile. D’autres ateliers à Gallieni : le paillage, le cannage. Antonin n’a travaillé à qu’à la vannerie et n’avait pas le temps d’aller travailler au sein des autres ateliers. Entre 35 et 40 personnes au Centre.
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[00:00:00] Les conditions d’accueil au Centre Gallieni« Les moyens m’auraient pas permis au début de payer un logement. J’avais pas assez d’argent ». Antonin Salique habite pendant vingt ans au Centre Gallieni et revient sur les conditions d’accueil : la modernisation des douches après le départ de René Braillon, le réfectoire, le bruit.
[00:06:05] Anecdote au sujet de l’un de ses compagnons à Gallieni
Antonin Salique illustre son propos au sujet du bruit qui régnait la nuit au Centre Gallieni avec le récit « d’un qui était venu de Paris, qui n’était pas bien dans son aplomb ».
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Fonds
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Fonds "Quelle mémoire !"
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Corpus
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Vie locale
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Nature du document
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enquête
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Département
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Rhône
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Niveau de consultation
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Diffusion publique non commerciale
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Durée
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00:42:03
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Qualité
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bon
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