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Le programme

Paroles Vigneronnes 

est conduit par l’association des Climats du vignoble de Bourgogne.


La réalisation
 de ce projet a été rendue possible grâce au mécénat d’AG2R LA MONDIALE

Avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Bourgogne-Franche Comté et du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté

Document : archives sonores
Affichage notice visiteur
n° inventaire CMTRA FRAC069266_11AV0060
Titre Musique chilienne dans l'exil : rencontre avec le musicien Juan Carlos Caroca
Commentaire L'enquête est véhiculée par la lecture de différents passage d'un livre proposé par l'enquêtrice et des discussions autour des thématiques telles que l'exil, la chanson engagée au Chili, les groupes de musiques chiliens en exil, et le ressenti de Juan Carlos Caroca sur sa situation en tant qu'exilé politique et musicien.
Responsabilité - Intervenant informateur
Caroca, Juan-Carlos  ; enquêteur
Darroux, Laurie
Date enregistrement-création 20 avr. 2011
Lieu enregistrement-création Villeurbanne
Ecouter - Voir Document en ligne
Documents liés Fichier sonore
Descripteurs Chili- Exil
Lieu latitude 45,766832
Lieu longitude 4,887151
Langue espagnol; français
Genre du document récit de vie ; témoignage thématique
Lieux cités Chili
Sommaire [00:00:00] Lecture d'un passage du livre de Juan Figeroa, autour de l’intégration dans un pays étranger : Juan Carlos parle de l’intégration et il estime qu’il ne faut pas rester que entre Chiliens, il faut essayer de s’intégrer par l'apprentissage de la langue, la création d'une famille. C'’est une manière de respecter aussi la culture qui t’accueille. [00:04:38] La musique n’est pas le seul moyen de vie de Juan Carlos Caroca. La musique est sa vie, et grâce à la musique il s’est protégé de la nostalgie qu’il éprouvait par son pays d’origine, le Chili. [00:06:50] La musique comme moyen de communication dans l’exil : quand il a commencé en France, il ne parlait pas langue et la musique lui a servi de passer des messages et communiquer avec les gens, lui a permis de tisser des liens. [00:07:45] Lecture d’un autre passage du livre de Juan Figueroa autour de la musique politique engagée et discussion autour du sujet avec Juan Carlos Caroca. Même si la situation politique change, le groupe de Juan Carlos Caroca n’est pas en “chômage d’idées”, ils aiment ces répertoires et ils continuent à les interpréter par passion. [00:14:25] Les retours au Chili : Il n’est pas retourné au Chili depuis son exil. Au Chili la chanson engagée continue jusqu’à présent, les nouveaux groupes mélangent des autres répertoires avec de la chanson “protesta” (militante). [00:16:56] Lecture d’un passage à propos de “avoir 20 ans à Santiago de Chile” : la musicienne et chanteuse Violeta Parra a marqué profondément la génération des jeunes chiliens des années 60, c’est la première a avoir parlé de ce qui n’allait pas dans le domaine politique, et qui a influencé la génération suivante des musiciens chiliens (chanson engagé), comme l’a fait également Victor Jara. [00:18:30] L’éducation au Chili autour des années 60 : les langues obligatoires dans les écoles étaient l’espagnol et l’anglais. L’école n’était pas obligatoire et l’accès à celui-ci n’était pas possible pour les familles avec moins de ressources. [00:19:09] Retour de la discussion sur la figure de Victor Jara et ce qui représente pour la musique chilienne. [00:20:02] Lecture d’un autre passage du livre et discussions sur la modification des répertoires traditionnels chiliens quand on est dans un autre contexte étranger (comme pour Juan Carlos Caroca, la France). [00:23:15] Lecture d’un autre passage sur le passé des chiliens qui ont souffert pendant la dictature et l’exil et discussion autour du sujet. La vie en exil : anecdotes très personnelles.
Fonds Musiques migrantes de Villeurbanne
Nature du document enquête
Département Rhône
Aire culturelle Chili
Niveau de consultation Diffusion publique non commerciale
Durée 00:27:37
Qualité bon
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