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[bourrée] L’aurelha de lebre
Air de danse au chant. On entend que Jean Linard appuie de façon particulière sur le temps forts, à la manière d’un ressort, alternant une forte pression avec un rebond. On voit que les premiers temps sont toujours mis en valeur (accentuation, ornements, allongements…), mais on voit également que le deuxième temps présente des durées longues (croches pointées). Cela donne l’impression d’une syncope, d’un décalage du temps fort.
Cette bourrée est assez connue, en particulier dans le Cantal.
informateur
:Linard, Jean
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enquêteur
:Dubreuil, José
Mauriac;
Le Vigean;
La Granoustie
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